Il y a des chansons qui vous restent dans la tête durant des années.Elles vont et viennent selon les saisons, se font plus rares durant un court moment, mais refont surfaces lorsque l’on s’y attend le moins . Et c’est le cas avec celle que je vais à présent tenter de vous refiler dans les tréfonds de vos mémoires .
Cette chanson, si elle est inconnue de la plupart des gens, est une pure beauté. Loin des ritournelles que l’on nous rabâche à longueur de journées sur les « chaines musicales » .Je vous propose donc (en espérant que cela aura un effet bénéfique sur moi et m’en débarrassera pour de bon ) de la mettre en images.
Ah oui, au fait elle se nomme « jeunesse lève toi « , et est interprétée par Damien Saez . Et je vous conseille de lancer la chanson ci-dessous et de parcourir le texte illustré au gré des paroles .
Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre
Qui fait naître la flamme,
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui s’éteint
Contre l’amour qu’on prend qu’on tient
Mais qui tient pas,
Contre la trace qui s’efface
Au derrière de soi,
Moi contre ton épaule
Je repars à la lutte
Contre les gravités qui nous mènent à la chute,
Pour faire du bruit encore
A réveiller les morts,
Pour redonner éclat
A l’émeraude en toi
Pour rendre au crépuscule
La beauté des aurores,
Dis-moi qu’on brûle encore,
Dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
Parce que tu n’en sais rien de la fougue et du feu
Que je vois dans tes yeux…
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine,
Comment on nous écœure
Perfusion dans la veine,
A l’ombre du faisceau
Mon vieux tu m’auras plus !
Ami dis quand viendra la crue ?
Contre courant toujours sont les contre-cultures,
Au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures…
Puisque c’en est sonné la mort du politique,
L’heure est aux rêves,
Aux utopiques…
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable,Dans ce triste pays
Tu sais un jour ou l’autre
Faudra tuer le père,
A l’âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame,
Puisqu’ici il n’y a qu’au combat qu’on est libre
De ton triste sommeil je t’en prie libère-toi
Puisqu’ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N’entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts,
Ne vois-tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Pour la suite merci de revenir en arrière !
La vache, je sais pas vous, mais ça a eu sur moi un effet cathartique !
(^^)
Cyril
Fan de comics, de mangas et de Terry Pratchett .
Élevé par (dans ses rêves les plus moites ) les Marx Brothers, Pierre Desproges et Didier Porte, dont il ne retiendra que le pire de ces personnes.
.Aime : les flims (c’est fait exprès) les bds, sa petite famille, et surtout passer pour un dingue auprès de ses collègues .
N’aime pas : la télé réalité, les pisse froid , les mathématiques( mon livre de math s’est suicidé, il avait trop de problèmes)
Un jour sans doute il détruira la terre entière si sa machine à clones fonctionne…Un jour .
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