En 1966, DC créé « Dial H for Hero ». C’est l’histoire d’un gamin qui en tombant dans une grotte souterraine trouve une sorte de téléphone extra-terrestre avec des inscriptions dessus. En le ramenant chez lui, ce petit prodige arrive à tout déchiffrer et découvre qu’en tapant H-E-R-O sur le cadrant, il peut se transformer en un super-héro au hasard. Pour redevenir normal il lui suffisait de composer O-R-E-H. Un peu comme Ben-10 pour ceux qui connaissent, mais avec des années d’avance et avec un téléphone au lieu d’une montre.
En 1981, on déterre le concept, mais cette fois-ci c’est deux gamins qui découvrent le boîtier. Pendant cette période c’était les lecteurs qui créaient les pouvoirs, et pour ne pas payer de royalties ils envoyaient un t-shirt à l’image du comic. En même temps ils n’auraient pas dû payer grand chose, vu que chaque pouvoir n’était utiliser qu’une fois.
Parmi tout ces supers-héros, il y en avait qui était spécialement inutile, à part si vous organiser une grande fête ou si c’est le 4 juillet. Yankee Doodle Kid avait des pouvoirs super-patriotiques qui feraient rougir de jalousie Captain America. Il était capable de lancer des feux d’artifices par les yeux et créer des pétards avec ses doigts.
Un super-héros qui après avoir gagner une bataille, peut fêter dignement la victoire.
Mig
Fan de tout ce qui se rapproche d’une BD, de jeux vidéo, jdr, des jeux de mot à 2 sous. Je vis à Geneva Beach city.
Aime : Écrire, dormir. Les averses d’été. Les siestes qui durent des heures. Mes potes.Avoir raison, même quand j’ai tort.
N’aime pas : Les gens qui se sentent supérieurs. Les choux. Avoir tort.
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